La série iQOO 9 est sortie depuis plus d’un mois maintenant et PBKreviews s’est mis au travail avec un test de démontage et de torture pour voir comment le nouveau téléphone non Pro fonctionnerait. Le test de durabilité commence par un test d’immersion dans l’eau de 30 secondes pour vérifier la résistance du téléphone malgré son absence d’indice IP officiel. Il ne semble pas y avoir de problème ici, donc l’hôte procède à un test de rayures d’écran en utilisant plusieurs pics minéraux de Mohs qui révèlent des empreintes légères aux niveaux six et sept et des rainures plus profondes aux niveaux huit et neuf. Le cadre latéral et les boutons sont définitivement en aluminium tandis que le dos est en verre texturé qui présente de légères rayures au niveau cinq et des marques plus profondes au niveau huit. Le téléphone est structurellement rigide et ne se plie pas sous la force de l’avant ou de l’arrière. Cela vaut à l’iQOO 9 un solide score de durabilité de 9/10. Passons au test de démontage qui commence par retirer le panneau arrière et révéler une grande bande de film en graphite gardant le téléphone au frais sous pression. Le téléphone dispose d’une batterie à double cellule qui se combine pour un total de 4 700 mAh. La carte mère abrite les caméras, le chipset, la RAM et les modules de stockage. Nous pouvons voir que l’objectif principal de 50MP est le seul à avoir OIS, contrairement au téléobjectif 12MP et aux vivaneaux ultra larges 13MP. Le téléphone comporte plusieurs autocollants de dommages causés par les liquides qui n’indiquent aucun liquide entré dans le téléphone lors du test de torture précédent. Remplacer l’écran n’est pas une mince affaire car il faudrait au préalable retirer tous les composants clés et chauffer le panneau. Le verdict est un score de réparabilité de 4,5/10.